LÉcole Maternelle. (1)
Marié depuis mes dix-huit ans, jai un petit garçon de quatre ans.
À vingt-deux ans Hubert, sexuellement et intellectuellement me comble.
Pilote de ligne sur notre compagnie national sur long-courrier le seul point noir est quil me quitte fréquemment pour des longs jours.
Depuis lâge de quinze ans, jai découvert le jeu des sexes.
Maman me disait toujours Anne, tu vas te perdre à papillonner comme tu le fait.
Je lentendais, mais le soir même, il me fallait un sexe en moi pour assouvir la démangeaison qui a démarré le jour où Gaétan ma dépucelé.
En un mot, jétais devenu une folle de mon cul.
Il était fréquent de me donner à deux voire trois garçons de mon immeuble dans la cave quils avaient aménagés pour moi et ou ils aimaient à me retrouver.
Toujours protégé, je baisais comme jaimais et javais linsouciance de ma jeunesse même si, dans cette période dinsouciance peu de filles se donnaient autant que je me donnais.
Et il y a eu Hubert.
Hubert, je lai rencontré comme dit Bécaud dans sa chanson « un jour à Orly ».
Mes parents sentant quil fallait me sortir des mauvaises fréquentations que javais dans mon quartier ont décidé chaque week-end, seul moment ou ils peuvent me surveiller, de me faire découvrir dautres endroits afin de parfaire ma culture.
À cette époque les marches sont rapidement devenues ma hantise, elles navaient aucun secret pour moi.
Tour Effel par les escaliers, les marches de larc de triomphe pour voir Paris de son sommet, les célèbres escaliers qui conduisent à la basilique du Sacré-Cur de Montmartre, même les marches du rocher du parc zoologique de Vincennes ont été mes sorties hebdomadaires et puis il y avait le samedi à Orly.
Originaires de Choisy-le-Roi, ses maudits avions nous passaient au-dessus de la tête une grande partie de la journée et jusquà plus de dix-sept ans, nous allions les regarder décoller.
Immuablement mon père gracieusement nous offrait une collation au restaurant-bar de laérogare.
Toutes les fois le seul moment dintimité, cétait lorsque dans ce restaurant, il me laissait seule pour me rendre aux toilettes.
Je prenais mon temps à rester assis sur la lunette rêvant à de belles queues tout en me caressant jusquau moment où jétais obligé de me mordre la lèvre pour éviter de faire profiter à mes voisines de mon orgasme.
Ce samedi comme tous les autres, je sortais de mon repère la chatte rassasiée jusquau soir ou je comptais bien rejoindre des bites sur pied.
Pardon monsieur.
Non, Mademoiselle, cest moi qui vous ai fait tomber.
Ce bel homme dune trentaine dannées était le prototype du pilote de ligne dans sa magnifique tenue que toute jeune fille rêve la nuit en se masturbant dépouser.
Il me relève mais ma cheville sans que je le veuille à décider de participer à notre rencontre.
Voulez-vous vous asseoir ?
Vous vous êtes fait mal à la cheville.
Oui, merci, aidez-moi sinon je vais tomber.
Il me conduit à la table la plus proche et sagenouille pour me masser la cheville endolorie.
Déjà une demande en mariage, vous êtes un rapide, vous mépousez sans me demander mon prénom.
Et vous vous appelez comment.
Vil suborneur, vous faites tombés des jeunes filles au simple faite de leur soutirer leur prénom, vous êtes comme tous les pilotes de ligne avec votre uniforme, vous croyez que toutes les jeunes filles mouillent en espérant vous épouser.
Vous mairiez demandé simplement mon prénom, je vous aurais dit que je mappelle Anne.
Anne, jaime ton humour moi, cest Hubert.
Et voilà déjà le tutoiement et dans cinq minutes, tu seras fou de moi.
Cinq minutes, immédiatement, veux-tu mépouser ?
Cest comme cela à quelques mètres de mon père et de ma mère que jai acceptée de devenir sa femme sans avoir échangé le moindre baisé.
Cest pendu à son bras alors quil tirait sa valise, car il revenait de la Réunion que je suis passé devant mes parents médusés de me voir partir avec un homme méconnu de moi quelques minutes avant.
Mon beau pilote ma proposé de memmener visiter lappartement dont il est le propriétaire sur les bords de Marne à Joinville-le-Pont.
Nous prenons un taxi qui nous dépose au pied dun immeuble aux portes du bois de Vincennes.
Appartement quatre pièces que je visite avec plaisir surtout la terrasse qui donne sur la marne non loin du restaurant « chez Gégène. »
De retour dans le séjour, jai trouvé Hubert en boxer tenu que je devais apprendre à voir, car dès quil est de retour à la maison été comme hiver, cest la tenue quil adopte.
Moi qui saute au paf des copains dès que je suis avec eux, cest homme dâge plus grand que le mien mintimide Hubert à juste dix ans de plus que moi et une vie amoureuse faite de rencontre dun soir.
À la suite de quelle folie ma-t-il demandé en mariage ou va-t-il me sauter et me dire que cétait une blague et que je peux rentrer chez mes parents.
Tu as lair timide, tu es vierge.
Je manque davoir un hoquet qui lui fait croire que je réponds oui.
Viens dans mes bras que nous ayons notre premier baisé.
Au lieu de me poser des questions idiotes, arrache-moi mes affaires et, enfile-moi, un homme de ton âge doit savoir que ma chatte coule de plaisir simplement davoir vu la belle photographie que lon voie de chez toi et que si tu me fais vivre ici, je serais la femme la plus heureuse au monde.
Je mapproche et cest lune des rares galoches que lon mest roulé, car mes copains font ce quils veulent de mon corps à part leurs bouches avec ma bouche et ma rosette, la sodomie leur étant interdite.
Cest donc lun des premiers baisers quun homme me donne et je dois dire que cela me plait assez.
Je glisse jusquà son sexe et je le sors de son écrin. Je contemple la bête, elle est dans la moyenne des bêtes que jai vue et qui mont enfilé.
Tu peux éviter de me sucer si tu le désir,
Sil savait ce que je fais dans la cave, lorsque trois copains me prennent en main un part la chatte, jamais le cul un autre la bouche pour sucer, ajouter la branlette et tous les trois sont contents.
Jévite de passer pour la pute que je sais être aussi, je me relève et cest sur le canapé que sa queue entre en moi.
Je tai fait mal.
Certe, jai bougé, car je mattendais que sa bouche vienne titiller mon clito, mais il me semble que pour lui les préliminaires sont superflus.
Pour rigoler, jai envie de jouer à la femme frigide.
A chéri, je jouis, que ta queue est bonne, donne-moi ton sperme mon amour.
Je me garde bien de lui dire cela pour éviter ses soupçons sur la gourgandine que dans mon immeuble, je suis devenu.
Il décharge rapidement comme beaucoup dhommes la première fois quil vous prend.
Anne, excuse-moi, jai été égoïste, jai été trop rapide.
Je croyais que tu étais vierge.
Jai fait beaucoup de gymnastique, je suis tombé plusieurs fois à cheval sur la poutre, deux fois jai même saigné.
Tu as dû te déchirer ton hymen et te dépuceler comme cela.
Sûrement, cest grave pour toi.
Non, pas du tout jai été surpris de sortir mon sexe de ton vagin couvert de mon sperme et quaucune trace de sang napparaisse.
Laisse-moi me reposer et dans quelques minutes tu vas monter au ciel.
À la hauteur du balcon de lappartement du dessus peut être, mais pour le septième ciel, je repasserais,
Il faisait des efforts pourtant, mais étant une experte des galipettes avec les copains montrer une certaine expérience risquait de lui mettre la puce à loreille que la poutre de la salle de gymnastique avait bon dos pour mon hymen.
Rapidement après avoir été chercher mes affaires chez mes parents et que ma mère tombe follement amoureuse de son futur gendre qui dans le quartier va être paré de toutes les qualités possibles et le mari idéal pour moi, je prends possession de mon nouvel appartement.
Alors que je suis légèrement frustré par mon mari sexuellement ma chatte a tendance à me laisser en paix.
À quelques jours de mon mariage pour enterrer ma vie de jeune fille, jai bien eu lidée daller revoir les copains dans la cave de mon immeuble mais la peur que ma mère ou mon père me voie doubler des trois semaines de vacances quHubert à pris men dissuade.
Trois semaines car demain maman va maider à mettre ma robe blanche pour que mon père me conduise à la mairie de Choisy-le-roi où je vais dire oui à Hubert.
Beau mariage, beau parti, même si mon mari est bien plus vieux que moi. Ce que ma mère redoutait, cest avéré inexact grace aux prières quelle faisait tous les jours, dans ma robe blanche aucun ballon indésirable, car de père inconnu nest présent.
Après la mairie où mes parents étaient les témoins, cest dans un restaurant très chic de Paris que nous sommes allés avant de prendre nos valises pour aller quinze jours à la réunion en voyage de noces.
Une grande partie du voyage, je lai passée seule mon époux ayant pris le chemin du poste de pilotage où un vieux copain de promotion la invitée à lui tenir compagnie.
Je suis assisse à côté de lendroit où les hôtesses préparent ce que les passagers réclament.
Ton mari exagère, te laisser seule en voyage de noces, il mériterait que tu le trompes.
Tu tappelles comment ?
Véronique et toi ?
Anne.
Lâne sest lui.
Tu veux dormir, tous les passagers sont installés, jai un peu de temps à moi.
Je vais chercher une couverture, tu nauras pas froid.
Lorsquelle revient, elle me place la couverture me cachant principalement le bas de mon corps.
Prestement elle sassoit à la place dHubert et se place la couverture de la même manière.
Rapidement elle semble dormir, mais je suis la seule à savoir quil nen est rien.
Sous la couverture sa main sest glissée sur un de mes genoux.
Que vais-je faire si sa main remonte tout le long et atteint ma grotte qui sest réveillée et qui dégouline denvie ?
Le but de la main est tout autre, voyant quaucune réticence ne lui est opposée, elle remonte vers mon corsage défait deux boutons et alors quelle donne limpression de dormir sur mon épaule, cest mon sein quelle caresse.
Moment divin de la première fois.
Moi qui ai été une jeune fille dépravée jamais, lidée quune main qui plus est celle dune fille puisse me laisser entrevoir de nouveaux horizons. Jignore la pratique des amours saphiques même si lamour ente femme métait connu.
Un coup dil dans les autres travées à notre hauteur les seules qui pourraient voir ce que nous faisons mais ce sont des s qui dorment à poing fermé.
Véronique écarte mon soutien-gorge et attaque mon sein le plus proche et très disponible.
Cest la première fois de ma vie que quelquun soccupe de mes seins, à ce jour tous mes amants passés dans mes bras voulaient simplement mon cul.
Là, ce geste de tendresse fait de moi pour la première fois une femme mais surtout pas un garage à bite.
Jai envie de lembrasser, mais nos bouches sont mal placées pour se trouver.
Mon téton est bandé par la caresse et maintenant le pincement quelle lui procure en le prenant entre deux de ses doigts.
Vas-y, arrache-le ?
Cest dans un souffle que je lui donne cet ordre inconscient et que je me livre à elle qui plus est pour quelle me fasse mal.
Tu aimes avoir mal, on va bien sentendre, jadore moccuper de petite cochonne comme toi.
Javais bien repéré dans tes yeux que tu aimais souffrir.
À ce jour pas plus que cela mais mon téton quelle risque darracher si elle pince légèrement plus fort me fait sentir quau niveau de ma chatte cette douleur lui fait énormément plaisir.
Le sentiment, de peur que la situation insolite me procure, fait de moi la proie consentante à tout ce que Véronique décide dentreprendre sur moi.
Elle glisse sa main plus loin, att son jumeau et lui fait subir le même traitement.
Même traitement même réaction ma chatte doit avoir mouillé ma jupe et attaquer le siège.
Chaque fois que nous nous parlons, nous chuchotons afin quau rang de derrière, ils ignorent que deux belles salopes se donnent du plaisir.
Deux belles salopes, plutôt une, car je suis peu active sur ma partenaire.
Tu veux que je te caresse la chatte petit cur.
Oui.
Comment puis-je quémandé que cette jolie femme me donne le plaisir que mon mari devrait mapporter ?
Tu vois petite Anne, ta chatte mintéresse mais pas aujourdhui, je veux que tu sois accro à ce que je te fais, cest à genoux demain que tu viendras me demander dy mettre les doigts.
Je te veux pantelante denvie pour que ma bouche dévore le joli abricot doré que ta vulve doit en avoir la forme.
Maintenant cest toi qui vas me donner du plaisir avec ta main sur ma chatte,
Dépêche-toi, jai horreur dattendre.
Je me place sur le côté alors quelle se redresse semblant toujours dormir.
Ma main glisse jusquà sa jupe qui est largement remontée.
Je remonte quelques centimètres et je suis surprise, elle a oublié sa culotte.
Jai un mouvement dhésitation.
Tu as toujours une culotte, dès que tu mauras donné du plaisir, tu iras jusquaux toilettes et tu la jetteras définitivement, à ton hôtel, tu en feras de même avec toutes les autres, tant que je mintéresse à toi il est hors de question que je sois obligé dattendre pour tavoir sous ma main.
Alors, jattends
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